Jean Zuccarelli
Condamnations des violences de Furiani.

Jean Zuccarelli

Samedi dernier, les abords du stade de Furiani ont une nouvelle fois été le théâtre d'évènements violents: équipements publics détruits, établissements bancaires saccagés et brûlés. Je les condamne avec la plus grande fermeté.

Ce type d'actes tend aujourd'hui à se multiplier dans notre île. C'est particulièrement grave. C'est également symptomatique de la banalisation de l'usage de la violence comme moyen de protestation politique, sur fond de revendications nationalistes. C'est aussi inacceptable qu'irresponsable.

J'apporte toute ma solidarité aux agents de police et aux pompiers blessés ou mis en danger lors de ces événements, ainsi qu'aux personnels de banque dont l'outil de travail a été ruiné.